Communautés

Découvrez toues les communautés religieuses présentes en Martinique !

Le diocèse de Martinique a la grâce de compter sur plusieurs communautés religieuses et communautés nouvelles qui, avec leurs charismes propres, contribuent à faire grandir la foi et participer au Bien Commun de la société en Martinique par leurs oeuvres missionnaires diverses.

Les congrégations religieuses masculines

  • Les Spiritains : congrégation cléricale missionnaire, arrivés en Martinique en 1853. Ils eurent la charge, entre autres, de la Providence - Orphelinat Saint Louis en 1907. En 1912, sur ordre de Rome, ils prirent en charges les anciens diocèses coloniaux.  Des spiritains furent successivement nommés évêques de la Martinique : Mgr Malleret, Mgr Lequien et Mgr Varin de la Brunelière. Lors du tricentenaire de la congrégation en 2003, à Fort-de-France, Mgr Marie-Sainte a déclaré " la communauté spiritaine est intimement associée à la naissance, croissance, à la vie de notre communauté diocésaine"
  • Les Bénédictins : Le monastère des moines bénédictins de Notre Dame du Mont des Oliviers à Schoelcher est bien connu des fidèles de Martinique. Ce monastère est un lieu de recueillement et de prières depuis le 31 juillet 1965. Bon nombre de personnes y effectuent des retraites spirituelles.

Les congrégations religieuses féminines

  • Les Soeurs Saint-Joseph de Cluny : fondée par Anne-Marie Javouhey en 1807 à Chalon-sur-Saône avec pour but l'éducation des enfants. Elles ouvrent des maisons d’enseignement en province et à Paris, où sont appréciées leurs méthodes pédagogiques, à un tel point que le vicomte Lainé, ministre de Louis XVIII, leur confie l’enseignement des enfants dans les colonies françaises et sont arrivées il y a 200 ans en Martinique. En 1835, Lamartine, dans son rapport sur l’abolition de l’esclavage, souligne le succès de leurs œuvres d’émancipation des esclaves. Les sœurs de Saint Joseph de Cluny se consacrent à l'éducation, à la catéchèse, à l'animation spirituelle, aux services sociaux et aux soins des malades notamment dans les 3 établissements scolaires portant leur nom à Lamartine (Fort-de-France), à Cluny (Grand Couvent) et à Ste Luce.
  • Les Bénédictines : Le 8 septembre 1961, deux Martiniquaises s’embarquaient à Fort-de-France avec le projet d’embrasser la vie monastique bénédictine à l’Abbaye Sainte-Cécile de Solesmes, pour mener la même vie de prière que les moines du monastère Notre-Dame du Mont-Pelé dont elles étaient oblates. Devenues moniales, et rejointes par d’autres martiniquaises, elles eurent la joie de revenir le 11 novembre 1976, pour réaliser la fondation que l’Abbaye Sainte-Cécile faisait en Martinique. Le monastère " Prieuré Sainte-Marie des Anges" au Carbet est un lieu de calme et de sérénité où la communauté de 15 moniales allient le recueillement du chant grégorien à la psalmodie en français. Le Prieuré Sainte-Marie des Anges au Carbet accueillent des hôtes désireuses de faire une retraite spirituelle, de se recueillir dans le silence et de prier avec la communauté. Plusieurs sont ainsi amenées à faire le point sur leur vie pour un nouveau départ. 
  • Les Soeurs dominicaines missionnaires ND de la délivrande : fondées le 2 février 1868 au Morne-Rouge sur l'île de la Martinique par Laure Sabès. Les religieuses se consacrent à l'enseignement avec la création d'une école de filles et aux soins des malades. En 1887, les religieuses prennent possession de leur nouvelle demeure et de leur nouvelle église dédiée à Notre-Dame de la Délivrande. Aujourd'hui elles sont en charge de 2 écoles qui portent leur nom : l'école primaire de Redoute et du primaire et collège au Morne Rouge. Elle sont ausi en mission sur les paroisses de Redoute, du Morne Rouge et du François.
  • Les Soeur de St Paul de Chartre : En 1818, elles prennent pied à la Martinique et en 1820, à la Guadeloupe, à la demande du gouvernement de fournir des infirmières dans les hôpitaux militaires. Elles ont rayonnement tant dans le service auprès des enfants orphelins et assistance de malades dans les hôpitaux que dans des missions paroissiales qui leur seront confiées fautes de prêtres. Aujourd'hui, la maison mère est située à Didier ( Fort-de-France). Elle sont en mission aussi sur les paroisses du Lamentin et de la Trinité. Elles aident à la Ruche (acceuil d'enfants en difficulté) et au Fourneau économique ( distribution de repas aux plus démunis).
  • Les Soeurs de la Charité de St Louis : les 3 soeurs originaires d'Haïti sont en mission à l'Espérance Apprentis d'Auteuil suivant leur mission éducative auprès des enfants

Les communautés nouvelles

  • La Communauté du Chemin Neuf : sur la paroisse de Coridon à Fort-de-France et au Domaine du Fort à St Pierre, propose à tous régulièrement des temps pour les jeunes (Welcome to Paradise) et pour les couples et familles (CANA) et des retraites spirituelles  tout au long de l'année.
  • La Communauté de l'Emmanuel : sur la paroisse de Ste Thérèse et du Sanctuaire du Sacré Coeur de Balata, propose à tous régulièrement des assemblées de prière et des parcours de formation (Zachée pour la Doctrine Sociale de l'Eglise)
  • Les Foyers de Charité : situé à la Trinité, le foyer propose à tous régulièrement des retraites spiriuelles, entre autres, pour les jeunes, et des recollections tout au long de l'année. 
  • Communauté Mère du Divin Amour (CMDA) : reconnaissance définitive, en tant que communauté de vie, le Samedi 19 Mai 2012 par l'évêque d'Abidjan (Côte d'ivoire). L’Institut Religieux Masculin Mère du Divin Amour est un institut religieux, clérical, apostolique et de droit diocésain propose. La CMDA propose à tous régulièrement des temps de prière et de récollection
  • Communauté des Eaux jaillissantes: située à Fort-de-France, issue du Renouveau charismatique catholique, elle a été fondée en mai 1998 par le Père Jean-Marie Yang-Ting, de la Congrégation des Pères du Saint Esprit. Elle est une « association privée de fidèles », statut canonique issu du droit de l’Eglise catholique et elle est reconnue par l’Archevêque de Martinique. Centre d’Ecoute, de Partage, de Compassion et de Prière qui propose des temps de recollection, retraites et accompagnements spirituels en lien avec le service diocésain d'écoute "Padre Pio"